Comment, chez un adolescent arménien, le lien à sa mère fut un facteur de survie au génocide

A propos

De plus en plus souvent dans notre pratique clinique, nous rencontrons des jeunes isolés étrangers, population vulnérable relevant de la protection de l'enfance. Soumise à la médiatisation, leur prise en considération par la société d’accueil dépend des aléas de la politique nationale et internationale.

Un travail pluridisciplinaire est indispensable à la prise en charge souvent complexe et multidimensionnelle des adolescents isolés étrangers. Régulièrement, ces jeunes présentent des problématiques somatiques, psychiques, éducatives et sociales étroitement liées. Les enjeux institutionnels au sein et entre les différentes structures œuvrant auprès d’eux (ASE, Hôpital, Éducation nationale, Justice…) influencent le bon déroulement de ces accompagnements. Or nous savons que le trauma favorise le clivage y compris entre professionnels et que les mouvements contre-transférentiels suscités par cette clinique sont à prendre en considération. À partir d'expériences singulières, ce numéro développe une réflexion théorico-clinique destinée à étayer la pratique professionnelle des différents acteurs travaillant au quotidien avec ces jeunes. 

Sommaire du numéro 

 

Comment, chez un adolescent arménien, le lien à sa mère fut un facteur de survie au génocide
Revue: 
Revue de l’enfance et de l’adolescence
Editeur: 
Année de publication: 
2018
Date: 
Janvier 2018
Langue: 
français