cure psychanalytique

Tendresse et attachement - Au cœur du travail psychanalytique avec le traumatisme - Sous la direction de Laurent Tigrane Tovmassian

Comment la tendresse peut-elle se faire vecteur de transformation dans la cure ?

Face au traumatisme extrême, le clinicien est pleinement engagé pour transformer la détresse du patient. Au-delà de la bienveillance et de l’empathie, il est une autre dimension féconde pour la cure : celle de tendresse.
Courant tendre, désir d’attachement, pulsion d’attachement, pulsion sexuelle inhibée quant au but, ou bien tendresse issue d’autres transformations… à travers la clinique de traumatismes précoces, cumulatifs, récents, ou la maladie grave, chez l’enfant, l’adolescent, l’adulte cet ouvrage analyse la tendresse comme vecteur de transformation. Une notion clé qui questionne le thérapeute sur le transfert, le contre-transfert et sur sa pratique dans la clinique du traumatisme.

Table des matières

Avec la contribution ci-dessous de Janine Altounian : "La fin d’une cure dégage une tendresse éprouvée après coup".
 

Tendresse et attachement - Au cœur du travail psychanalytique avec le traumatisme - Sous la direction de Laurent Tigrane Tovmassian
Sous la direction de Laurent Tigrane Tovmassian - Avec les contributions de Janine Altounian, Drina Candilis-Huisman, Sophie-Caroline Cromphout, Clara Duchet, Emanuele Ferrigno, Bernard Golse, Pascale Gustin, Christophe Janssen, Simone Korff-Sausse, Denis Mellier, Régine Prat, Michel Sanchez Cardenas, Karl-Leo Schwering, Laurent Tigrane Tovmassian, Stefanie Van Leemput et Paul L. Wachtel.
français
2020
408
978-2-84835-640-2

Le Cercle freudien reçoit Janine Altounian à propos de son livre : « De la cure à l’écriture, l’élaboration d’un héritage traumatique » - 5 juin 2013

Le livre sera présenté et discuté par Jacques AUBRY dans le cadre des rencontres du Cercle Freudien.

« De la cure à l’écriture, l’élaboration d’un héritage traumatique » paru aux PUF en 2012.

Ce travail s’inscrit dans le droit fil des questions concernant le destin du transfert. Si ce destin n’a pas été pour elle de devenir psychanalyste, il est étroitement lié à la psychanalyse de la part d’un auteur qui traduit Freud en français ( L’écriture de FreudTraversée traumatique et traduction, PUF 2003) et transmet son expérience de la psychanalyse comme analysante.

français

Actualité de la Psychanalyse à Troyes - Conférence/ Débat le 8 mars : Se dégager du trauma : traduction, cure et écriture

enluminure arménienne
Conférence organisée par Actualité de la Psychanalyse à Troyes le vendredi 8 mars 2019 à 20h30 à l'Institut Universitaire Européen Rachi à Troyes.

Janine Altounian, analysante, héritière de survivants et traductrice de Freud 
Se dégager du trauma : traduction, cure et écriture

Janine Altounian viendra parler de la dimension clinique et analytique du trauma à travers son histoire personnelle qui s’inscrit dans la tragédie du génocide arménien. Elle insistera sur la force inconsciente de l’impensé du trauma dans sa transmission transgénérationnelle. Elle mettra en évidence le possible dégagement par la cure et l’écriture, des pulsions de vie enfouies sous cet héritage traumatique.

Page 64 de son livre De la cure à l’écriture. L’élaboration d’un héritage traumatique, Janine Altounian propose de « transformer le trésor terrifiant d’un témoignage paternel en un bon objet interne, susceptible d’être porté en soi, aimé, voire de constituer une médiation entre son héritière et ses semblables ».

03/03/2019
Institut Universitaire Européen Rachi - Troyes, 2, rue Brunneval
Se dégager du trauma : traduction, cure et écriture
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1h58

Actualité de la Psychanalyse à Troyes - Conférence/ Débat le 8 mars : Se dégager du trauma : traduction, cure et écriture

Janine Altounianenluminure arménienne, analysante, héritière de survivants et traductrice de Freud 

Se dégager du trauma : traduction, cure et écriture

Janine Altounian viendra parler de la dimension clinique et analytique du trauma à travers son histoire personnelle qui s’inscrit dans la tragédie du génocide arménien. Elle insistera sur la force inconsciente de l’impensé du trauma dans sa transmission transgénérationnelle. Elle mettra en évidence le possible dégagement par la cure et l’écriture, des pulsions de vie enfouies sous cet héritage traumatique.

Page 64 de son livre De la cure à l’écriture. L’élaboration d’un héritage traumatique, Janine Altounian propose de « transformer le trésor terrifiant d’un témoignage paternel en un bon objet interne, susceptible d’être porté en soi, aimé, voire de constituer une médiation entre son héritière et ses semblables ».

Conférence organisée par Actualité de la Psychanalyse à Troyes le vendredi 8 mars 2019 à 20h30 à l'Institut Universitaire Européen Rachi à Troyes.

Se dégager du trauma : traduction, cure et écriture
08/03/2019
Institut Universitaire Européen Rachi - Troyes, 2, rue Brunneval

Dégagement, au cours de la cure et par l'écriture, des pulsions enfouies dans un héritage traumatique


Conférence de Janine Altounian le 18 octobre 2013 à l'Ecole Belge de Psychanalyste publié sur le site de l’Ecole Belge de Psychanalyse.

Au repos des Chasseurs, 11 Avenue Charle-Albert , 1170 Watermael-Boisfort, Belgique

 

18/10/2013
Ecole Belge de Psychanalyste
Dégagement, au cours de la cure et par l'écriture, des pulsions enfouies dans un héritage traumatique

Lettres du divan - Écrire à son psychanalyste

Présentation du livre 

« Un analysant écrit à son analyste. Lettres, messages, poèmes, récits de rêves ou de souvenirs, aveux d’un désir, ou d’une douleur, qui ne se dit pas. Ces écrits en marge des séances occupent une place à part dans l’analyse ou la psychothérapie, comme si le désir inconscient et ses tourments trouvaient là à se loger. Dans le mouvement même de son écriture, le sujet rejoint la part cachée de son être, celle qu’il ne livre pas en séance. Il se souvient de lui-même en quelque sorte, pour et avec un autre qu’il retrouve dans l’imaginaire. Nous ne sommes plus seulement dans “ l’échange de mots ” (Freud) au sens strict, mais dans la correspondance. S’agit-il d’une écriture analysante ? D’une échappée hors du cadre analytique ? A-t-on affaire à un récit de soi qui trouve sur le divan sa raison d’être ? Et comment les psychanalystes accueillent-ils les écrits de leurs patients ? La réflexion proposée ici ne porte pas tant sur des écrits publiés que sur ceux qui croisent la parole en séance. Pour certains, l’écriture a précédé leur entrée en analyse et a rendu possible une ouverture à la parole analytique et à ses soubassements inconscients. Pour d’autres, déjà en analyse, elle est apparue comme une issue créatrice constituant symboliquement une “ chambre à soi ” (Virginia Woolf) pour y déposer les sédiments de sa parole. Le divan, réel ou imaginaire, constitue dès lors ce lieu où la lettre se compose, rejoint d’autres lettres, des inscriptions et récits d’autrefois en quête de quelque destinataire invisible. » (Louise Grenier)

Lettres du divan - Écrire à son psychanalyste
Sous la direction de Louise Grenier avec les contributions de Janine Altounian, Claude Brodeur, Jean-François Chiantaretto, Mireille Fognini, Louise Gareau, Francine Godin, Louise Grenier, Marie Hazan, Sophie Lapointe, Isabelle Lasvergnas, Monique Lévesque, Evelyne Gosse-Oudard, Ghislaine Pesant, Michel Peterson, Liuz Eduardo Prado de Oliveira, Daniel Puskas, Marie- Brigitte Ruel, Claude Spielmann, Jacqueline Rousseau-Dujardin.
français
2017
246
978-2-89578-602-3

Journée scientifique du 4 juin 2015 sur les "Violences collectives et génocides : l’après" organisée par l’ALFEST à l'Ecole du Val de Grâce à Paris

ALFEST, l'Association de langue française pour l’étude du stress et du trauma, organise le 4 juin 2015 à l'Ecole du Val de Grâce à Paris, une journée scientifique sur les Violences collectives et génocides : l’après. A cette occasion, Janine Altounian, traductrice et essayiste,  interviendra sur « Le dégagement, au cours de la cure et par l’écriture, mais dans certaines conditions sociopolitiques, des pulsions de vie enfouies dans un héritage traumatique ».
Nous rencontrons souvent dans divers lieux d’aide aux victimes des personnes consultant pour des souffrances liées aux situations de violences collectives qui ont pour noms guerres, massacres collectifs ou génocides...
Questionner « l’après », c’est soulever quelques-unes des questions suivantes : Que deviennent les personnes impliquées dans les violences collectives ? Que transmettent-elles à leur descendance des blessures et des ressources mobilisées pour continuer à vivre ou à survivre, comment leur descendance reçoit cet héritage et agit sur lui pour en désamorcer la puissance mortifère et se tourner vers la vie ? Enfin dans quelles modalités créatives et avec quelles visées thérapeutiques les cliniciens peuvent-ils intervenir afin que les personnes portant les séquelles directes ou transgénérationnelles des drames renouent avec la vie et avec l’humanité ? Ou encore : comment tenir compte, dans nos interventions, du caractère collectif des agressions et des contextes culturels propres aux populations qui ont été violentées ?

04/06/2015
Ecole du Val de Grâce à Paris
Violences collectives et génocides : l’après

Dégagement, au cours de la cure et par l'écriture, des pulsions enfouies dans un héritage traumatique

Conférence de Janine Altounian le 18 octobre 2013 à l' Ecole Belge de Psychanalyste


Au repos des Chasseurs
, 11 Avenue Charle-Albert , 1170 Watermael-Boisfort, Belgique 

 

 

 

Conférence de Janine Altounian
18/10/2013
Ecole Belge de Psychanalyste

Témoignage et trauma : implications psychanalytiques

Résumé

Une interrogation sur la fonction testimoniale et la question du trauma dans la cure psychanalytique et dans les récits des survivants de grands conflits tels que la Première Guerre mondiale, la Shoah et le génocide arménien.

4ème de couverture

Témoignage et trauma : implications psychanalytiques
Jean-François Chiantaretto, avec la collaboration de C. Trevisan, J. Altounian, R. Waintrater, P. Réfabert
Inconscient et culture
français
2004
175
2-10-048404-4
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