famille

Séminaire de l'IRIS sur les violences de masse : enquêter par l'intime. Sources, méthodes, épistémologie - Séance du 24 avril : Famille (2). Transmissions, traductions

La séance du 24 avril du séminaire interdisciplinaire de l'IRIS (Unité mixte de recherche associant l’EHESS, le CNRS, l’Inserm et l’Université Paris 13)  animé par Anouche Kunth, chargée de recherche au CNRS (Hors EHESS) et Chowra Makaremi, chargée de recherche au CNRS (IRIS) sera consacrée à : 
"Famille (2). Transmissions, traductions", un thème qui sera abordé plus spécifiquement à travers l'entreprise de traduction, avec Janine Altounian (traductrice et essayiste, auteur notamment des Mémoires du génocide arménien. Héritage traumatique et travail analytique, Paris, PUF, 2009) et Chowra Makaremi (Le Cahier d’Aziz, Paris, Gallimard, 2011).

Ces deux héritières de l'histoire génocidaire se sont livrées respectivement à la traduction du journal du père et du témoignage du grand-père offrant ainsi la possibilité de mettre en regard ces deux expériences de transmission-traduction au cours d'une séance croisée, dont la date n'est pas anodine pour porter une parole symbolique en ce jour de commémoration.

24/04/2017
Locaux historiques de la Maison des Sciences de l'Homme : 54 boulevard Raspail 75006 Paris
Famille (2). Transmissions, traductions

Séminaire de l'IRIS sur les violences de masse : enquêter par l'intime. Sources, méthodes, épistémologie - Séance du 24 avril : Famille (2). Transmissions, traductions

La séance du 24 avril du séminaire interdisciplinaire de l'IRIS (Unité mixte de recherche associant l’EHESS, le CNRS, l’Inserm et l’Université Paris 13)  animé par Anouche Kunth, chargée de recherche au CNRS (Hors EHESS) et Chowra Makaremi, chargée de recherche au CNRS (IRIS) sera consacrée à : 
"Famille (2). Transmissions, traductions", un thème qui sera abordé plus spécifiquement à travers l'entreprise de traduction, avec Janine Altounian (traductrice et essayiste, auteur notamment des Mémoires du génocide arménien. Héritage traumatique et travail analytique, Paris, PUF, 2009) et Chowra Makaremi (Le Cahier d’Aziz, Paris, Gallimard, 2011).

Ces deux héritières de l'histoire génocidaire se sont livrées respectivement à la traduction du journal du père et du témoignage du grand-père offrant ainsi la possibilité de mettre en regard ces deux expériences de transmission-traduction au cours d'une séance croisée, dont la date n'est pas anodine pour porter une parole symbolique en ce jour de commémoration.

Famille (2). Transmissions, traductions
24/04/2017
IRIS - Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux

L'oubli du père

4ème de couverture

Pater incertus, mater certissima... Le père est aussi incertain que la mère est certissime. Les conséquences de cette dissymétrie sont multiples. Parce qu'il peut ne pas y avoir de père, son éventuel amour prend la forme d'une élection, voire d'un luxe. Quand il n'est pas inconnu, le père est au moins improbable. De là à le négliger, l'éclipser, l'effacer... L'oubli du père revêt les formes les plus diverses, depuis l'accident que l'on voudrait insignifiant jusqu'à l'inéluctable destin.
Article de Janine Altounian : "Épouvante et oubli: la littérature comme sauvetage de la figure du père".
L'oubli du père
sous la direction de Jacques André, Catherine Chabert : Catherine Chabert, Pierre Pachet, Janine Altounian et al.
Petite bibliothèque de psychanalyse
français
2004
175
2-13-054072-4
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